soin et repos

nous venions de rentrer du lac, kazuo était blesser. j'étais ronger par l'inquiétude, quand à sa soeur, elle était déjà partis vadrouiller dans le village. j'entrais dans une chaumière mise un peu à l'écart, il s'agissait de MA maison. Elle était chaleureuse, une vielle femme était assise devant la cheminée dans un fauteuil à bascule et tricotait. je lui sourit et m'approcha, suivit de prêt par kaz.

- tiens donc...tu as ramener un ami ambre ?

j'esquissais un sourire et répondit calmement:

- oui...mais il à besoin de soin Maria...

oui, maria est celle qui m'as élever une partis de mon enfance, ma mère est morte quand je n'était qu'une enfant et mon père était souvent occuper. depuis, elle veille sur moi comme une mère et garde ma maison intacte en mon absence.

- je vais lui préparer un lit !

la vieille femme se leva et et prit monta les escaliers. je soupirais et servit un verre d'eau à kaz.

- bois..;sa te feras du bien.

il ne se fit pas prié et prit le verre, l'avalant une toute vitesse, la main tremblante. quelques instant après, la voix de maria se fit entendre pour nous dire de montrer. kaz me suivit à l'étage, je l'emmenait dans une des trois chambre de la maison et le fit s'assoir sur le lit. maria apporta de l'eau chaude et des serviette propre. la porte s'ouvrit, le fils de maria arriva, un grand homme un peu idiot, l'air bêta sur le visage:

- môman...je peux aider à soigner le garçon ? hein je peux ?

j'esquissais un sourire gêner, amis maria répondit pour moi:

- irvin ! non ! tu sait très bien que tu es trop brutale pour ça !vas donc chercher ta soeur ! et vas nous couper du bois ! et fait donc une soupe aussi ! ça , tu sait bien le faire !

le grand garçon à la musculature impressionnante sourit et dit:

- oui ! ma soupe est la meilleur !

puis il sourit et sortit de la pièce tout content. je regardais kaz et demanda :

- est-ce que sa va ?

Je marchais lentement en tenant d'une main mon épaule ensanglanter. Le sang avait cesser de couler, mais ce n'etait pas beau à voir. Il faudrait quand meme désinfecter et recoudre la blessure. En tant normal, j'aurais refusés d'aller dans le camp des Inyos, craignant des conflits internes et une tactique de combat possible pour les Agorahs, mais là je n'avais pas vraiment le choix. Alors je suivis le reste de la meute, comme toujours. Ma soeurs avait ramasser mes vetements et armes, elle ne voulait pas que les autres y touchent à part Ambre, moi et elle, et d'ailleurs je partageait ce point de vue. Au loin alors on y aperçus enfin ce qui semblait etre un village. Plus nous nous rapprochâmes, plus l'odeur des feux de camps et du bois fraîchement coupés nous vint. Ce n'etait pas difficile de repérés ce village, mais il etait bien plus dur de l'attaquer par surprise, vu la surveillance créer. J'entra dans ce village, les regards se tournerent vers moi, logique, un homme blessé et en caleçon, encore u peu trempés qui se promenait accompagnés d'Inyo qui l'escortait, j'étais un phénomène de foire ainsi, je n'aimais pas etre surveiller de la sorte, mais je pris sur moi et continua jusqu'à la tente. Je ne suis meme pas sur de ce que je voit, meme pas sur que je marche sur de la terre, meme pas sur de ce que je sent. Nous entrons tous les 3, ma soeur, Ambre et moi. Ma soeur pose les vetements et n'a d'autres choix que d nus laisser, elle ne peut que faire confiance à Ambre, et vu qu'elle n'aime pas rester assise sans rien faire, elle va se promener dans le camp en faisant confiance à Ambre et à l'autre vieille qui tricote un pull pour un géant on dirait. Ambre m'allongea, moi qui tenait à rester conscient, le simple relâchement soudain de mon corps me donna la tête qui tourne. Je vis à peine entrés un garçon, l'air bêta, un peu comme l'ivrogne qu'on avait vu à l'auberge, mais lui n'etait pas ivre. Et après on ose dire que je suis attardés. Je ferma les yeux, la fatigue me vint, je n'avais pas l'habitude d'être aidés de la sorte, j'ai toujours appris à vivre seul, à me débrouiller de mes propres moyens ou m'occuper de ma soeur, toujours seul. Mais cette fois je m'en remettait à Ambre, je n'avais plus le choix. Boire ce qu'elle me donna etait pour moi un effort surhumain, j'étais sans force.
Quand je rouvris,les yeux, il ne devait s'être passés que quelques secondes car cette fatigue ne m'avait pas quittés et surtout la blessure n'etait pas sognés.

Bien sur, dans quelques secondes, je pourrais danser sur les mains.

Bon on va ire que c'est de l'humour noir. Je regarde autour de moi, il y avait des animaux morts et empaillés, ou alors pendu par la queue. Dans une cage il y avait un magnifique oiseau bleu. C'est tout ce que je put avoir avec la force que j'avais. Quelqu'un entra, je fit de nouveau un grand effort pour voir qui et là fut surpris de voir une autre femme entrée, magnifique, presque aussi belle qu'Ambre. Je souris alors qu'elle se pencha sur moi.

Je suis au paradis??

La douleur lancinante à l'épaule me dit clairement que non. La jeune fille émit un petit rire très doux, presque reposant, ou alors tout pouvait me sembler reposant pour moi. Je passa une main sur mon torse, j'étais toujours en caleçon, mais au moins j'étais sec.

Oh non ne me dites pas que je me suis montrés comme ça devant ton village.,

Oh ce n'est pas bien grave, je suis sure que vous avez fait bon impression, plusieurs filles aimeraient etre ici en tout cas. Et puis vous etes plutôt bel homme, n'est ce pas Ambre??

La jeune fille que je ne connaissait pas tourna la tête vers Ambre qui parut soudainement gênés, ne sachant quoi répondre. Je n'ai jamais sut si elle a répondu ou non, car tout devint soudainement flou, j'ai certainement dus m'endormir.

kaz commençait à vraiment être mal en point. IL perdit à moitié connaissance. Maria s'approcha et me demanda:

- tu as vraiment l'air inquiète ambre, se n'est pas dans tes habitudes!

je baissais les yeux et commença à nettoyer la plaie de kazuo et répondit:

- je sais maria...je sait...

La vieille femme me prit la serviette ensanglanter des mains pour m'en donner une propre alors que sa fille lucy entra dans la pièce, jolie brune au grand yeux verts, habiller d'une jolie robe vert émeraude. Son sourire était éclatant, elle était vraiment magnifique. Bien que j'ai moi aussi des beaux atouts, j'avoue me sentit un peu gêner face à cela. Mais bon, lucy était une excellente ami à moi. Kaz ouvrit les yeux, il tourna la tête vers lucy, demandant si il était au paradis. je serrais la mâchoire et me leva du lit, m'approchant de bac d'eau. je ne dit rien, rien au fond de moi, je bouillonnais de rage. Et voilà que lucy en rajouta une couche, me demandant si je ne trouvait pas kazuo bel homme...tss...quel questions stupide.

- sans plus.

elle me fixa avec des yeux rond puis me dit:

- euh...ambre...il faut que je te parle s'il te plait...dans le couloir!

je soupirais puis elle me prit par la main et me tira dans le couloir contre mon ré. Fermant la porte de la chance pour ne pas que kaz entende, elle me dit:

- hey ! à quoi tu joue là ?

je la regardais sans la moindre expression et demanda:

- à rien.

aucune de nous deux ne savions que kaz entendait tout d la chambre.

- oh je t'en prie !!!! même ma mère à remarquer ton inquiétude disproportionner que tu as pour lui !

- et alors ?

elle me regarda et soupira en secouant la tête:

- il te plait ?

- hein ? non !

- quoi ? tu vas pas me faire croire qu'il n'y a jamais rien eu entre vous tout de même !

- bah...euh... juste un baiser mais....

lucy me fit un grand sourire alors je me rattrapais:

- mais c'était pour de faux !!!! on faisait semblant pour faire fuir cet ivrogne à la taverne !!!

- bah oui tiens...trouve autre chose!

- mais je te jure que c'est vrai!!!!

-aller...avoue...il était comment se baiser ?

elle se pencha vers moi, un sourire malicieux aux lèvres, je n'avais pas le choix, je devais répondre.

- c'était doux...tendre...et très long.

lucy pouffa de rire puis repris son sérieux:

- ça ma vieille, c'était pas un faux baiser !!! c'était un vrai !!! avec de la passion et tout ce qui va avec !!!!

cette fois, c'est moi qui soupirais, exaspérer.

- bon dieu !!! mais en quel langue faut-il que je te dise que c'était pour faire fuir un ivrogne ???

- ambre !

lucy me regardais, les mains sur les hanche set tapant du pieds.

- cesse donc de jouer l'enfant veux-tu !!! un baiser est un baiser ! point finale !

- mais je..

- tais-toi ! il serait temps pour toi de passer à autre chose non ? oublie Dorian ! tout les hommes ne sont pas comme lui, il faut que tu refasse ta vie et que tu arrête de fuir quand un homme t'offre un baiser !

je baissais les yeux et dit:

- kazuo ne m'aime pas lucy ! c'est juste un ami !

- oui mais toi ? tu l'aime ?

je levais les yeux aux ciel et dit énerver:

- dit...qu'est-ce que tu ne comprend pas dans le mot "AMI" ?

lucy secoua la tête et descendit l'escalier alors que son frère l'appelait pour lui faire gouter sa soupe:

- on reprendra cette discussion plus tard.

je fit un signe de main et entra dans la chambre. kazuo était assis sur le lit, j'esquissais un vague sourire et fit comme si de rien n'était, d'autant que je ne savais pas qu'il avait entendu toute la conversation. je m'approchais et retira le linge sur sa plaie. Elle avait enfin commencer à cicatriser. je sourit et dit:

- ah...c'est déjà plus jolie à voir ! tu as moins mal ?

mais kaz semblait dans ses pensées. je le regardais, inquiète et demanda:

- he oh ! kazuo ! tu as l'air... ailleurs ! tu es sur que tout vas bien ?

Une envie de dormir me prenait, mais la douleur à l'épaule m'en empêchait, ce qui me provoquait en moi une sensation bizarre. Un peu comme quand on a envie de vomir mais que l'on a rien mangés. Enfin bref, je me sentis trembler, mes mains se crispèrent sur le tapis en peau de bête confortable ou j'étais installés. Je serra les dents, pourtant la douleur n'etait pas insurmontable. Je sentit quelque chose de doux caressés ma peau, jusqu'à ce que ça parvienne à la blessure. Mes yeux picotèrent un peu, mais aucune larme ne coula. Je restait impassible et jugea préférable de me concentrés sur la lueur d'une bougie au lieu de la douleur. Je me laissa faire, me détendit, gardant mon visage calme posé sur cette lueur orangée m'offrant plus de 1000 raisons de rêvés, cette lueur dansait sous mes yeux, me relaxant. Finalement les soins dus prendre fin car je ne sentit plus rien appuyer contre ma blessure. J'hesita à détourner le regard de cette bougie, comme si la douleur reviendrait si je la quittait des yeux. Je finis par bouger la tête, jetant un coup d'oeil à mon épaule,à présent un étrange tissus blanc et rouge reposait sur la blessure, je ne sentait plu le sang coulés. Il me semblait aussi revenir doucement à la réalités, alors que des voix se firent entendre juste à cotés. J'aurais voulut lever la tête et leur dire de parler de moi plus loin, mais j'avais l'impression que ma tête pesait une tonne et ne pouvait pas parler sans une force énorme. Alors je me résigna à entendre contre mon gré cette conversation un peu embêtante.
Je reconnaissait facilement qui parlait, la dénommée Lucy avait une voix de petite fille, très aiguë, tandis que Ambre avait une voix de femme, pas trop aiguë ni trop grave. Une voix de femme.
D'abord cette histoire d'inquiétude, encore, je comprenais jamais rien!! Ca fait quoi de s'inquiéter pour un ami?? En quoi est ce si étrange? Peut t'etre que venant de Ambre, c'est étrange. Après la conversation changea pour cette histoire du baisé, Ambre ne s'en est toujours pas remis? J'avais fait une grosse bêtise ce jour là, mais est ce que je le regrettait vraiment, je n'en sais rien.

*non c'etait juste pour éloigner cet ivrogne, tu as fait juste ce qu'il fallait.

Seulement le petit problème, c'est qu'une autre partie de lui démentait, et d'une si belle façon qu'il ne savait pas si c'etait bien ou mal.

*Idiot, en ayant fait cela, tu as provoqués un faux espoir en Ambre, à présent elle en attends bien plus. Tu devrais mettre rapidement les choses au point avant de la briser completement. Ne fais pas souffrir plus de monde comme cela.

La conversation se poursuivit. Elles parlaient cette fois d'un certain Dorian, je ne le connais pas, et j'ignore ce qu'il s'est passés, mais j'hésitai à lui demander après. Si elle ne m'en a pas parlés avant, c'est qu'elle ne veut pas en parlés et pas que je le sache. La question d'après fut bien plus intéressante, et j'aurais aimés entendre une réponse claire d'Ambre, qu'elle soit positive ou négative, j'ignorai ou irait ma préférence. Mais évidemment, quand une question gênante venait, Ambre trouvait toujours de quoi modifier la conversation en sa faveur. Mais le genre de la réponse, je pris cela pour un non. D'un effort incroyable, je me hissa sur mes coude en imaginant que la douleur à l'épaule n'etait que le fruit de mon imagination, puis je me retrouva assis. Pas question de me rallonger après avoir fait ça. J'ignorais aussi la fatigue qui m'appelait à grands cris. Ambre entra de nouveau et d'un geste me rallongea. Hé ben décision rapide. Elle retira la serviette qui recouvrait ma blessure, qui avait presque finis de cicatrisés. Hé oui, ça sert d'être lycan. Mais mes pensées étaient ailleurs, et Ambre l'avait remarqués.

Allez, laisse lui sa chance, Ambre est une fille très belle, tu n'as rien à perdre avec elle.

Hors de question que tu la fasse souffrir plus que ça, tu dois rompre immediatement.

Rompre...on etait meme pas ensemble. Ambre s'éloigna déposés la serviette, je ne me releva meme plus, je cherchait la question à lui demander. Mais peut t'etre valait t'il mieux partir, et cesser les dégâts ici, ça me semblait plus raisonnable.

Oui ça va, je...on va partir, on t'as assez causés d'ennui comme ça.

Pas question, vous etes nos invités et tu es trop épuisés pour faire quoi que ce soit.

J'avais completement oubliés la grand mère qui etait retournés tricotés son T-shirt pour géant. Si c'est censés etre une couverte, c'est un peu déformés, mais peut t'etre faisait t'elle cela juste pour la passion.

L'invitation est généreuse mamie, mais je me dois de la refuser, on ne peut pas laisser notre camp comme ça, je m'habille, je vais chercher ma soeur et...AIE!!

La vieille m'avait mis un coup de ses fameuses baguettes à tricoter sur la tête, et pas un petit coup. A présent la douleur sur le crane rivalisait avec l'épaule, mais l'épaule le remporterait.

Tu es un garçon très sage et un peu respectueux, mais tu as trop de détermination et de sérieux. J'en ait plus que toi, alors tu reste point final.

Tient tu lui as parlés de moi??

Je me tourna vers Ambre qui depuis le début ne disait rien. Je soupira, je savais que ça pourrais durer des heures cette dispute entre moi et la vioque, alors je laissa tomber, trop la flemme. Je regarda Ambre qui s'était assis à cotés de moi, regardant ma blessure d'un air inquiet.

Alors c'est vrai que tu m'aime??

Ambre sursauta de surprise et en l'espace d'un instant je crus la voir rougir. Je me tourna vers elle, mauvaise idée car j'étais appuyés su mon épaule. Je me remis alors sur le dos, quand meme un peu gênés cette situation. Je finit par fermer les yeux, cherchant le sommeil quelque part, mais la voix d'Ambre me les fit rouvrir aussitot.

Je m'assis sur le lit alors que maria se fit plus convaincante pour garder kazuo à la maison le temps des soins. Je dû y rajouter y mettre du mien aussi car d'être que sa blessure lui ferais moins mal, kazuo serait capable de fuir par la fenêtre en pleine...oh, tant pis, je posterais des gardes autours de la maison, ils l'assommeront si il essaye de s'échapper.

- de toute façon tu n'es pas en état de bouger...de plus si vous tomber encore sur des agorah, ta soeur ne pourras pas se défende seule! tu compte faire quoi dans se cas ? la regarder se faire tuer et dévorer puis attendre ton tour bien sagement ?

mon ton était redevenue froid, bien que mon regard exprimait encore de l'inquiétude. j'avais encore en tête cette fichu discutions que je venais d'avoir avoir lucy, sa te tracassait, je ne savais pas trop quoi penser. Étais-je si naïve que ça pour croire que j'avais des sentiments pour kazuo s'en m'en être rendu compte ? non, c'était impossible, je m'en serais forcément aperçu si je l'aimait. maria me fixa un instant, je plongeais mes yeux gris dans les yeux noisette de ma nourrisse et regarda la plaie de kazuo en soupirant légèrement. Je retirais la serviette d'un geste doux, je ne voulait pas lui faire mal. Je passais mes doigts autours de la blessure, je devais voir si il serait nécessaire de cautériser la plaie pour qu'elle cicatrise mieux mais, il semblerais que non. alors que j'étais plonger dans mes pensées, la voix de kazuo brisa le silence.

- Alors c'est vrai que tu m'aime??[color=white]

je me figeait sur place, fixant kaz avec un air sérieux. Maria se stoppa brusquement et me fixa moi avec de grand yeux rond.
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- ambre...aurais-tu oublier de me dire certaine choses ? je croyais pourtant que tu ne me cachais rien!

je regardais kazuo puis maria à tour de rôle et m'écriai indigner:

- non !!!

maria me fixa sérieusement, puis ouvrit la bouche pour me dire froidement:

- ambre !!! il va vraiment falloir que tu te ressaisisse ! combien de temps encore cette histoire va durer ???

je me levais du lit brusquement , élevant la voix à mon tour pour me défendre:

- maria !!! je refuse d'avoir ce genre de discussion devant kazuo !

kazuo qui déjà se redressais, il semblerait qu'il y est des choses qu'il avait envie d'entendre... je le regardais un instant mal à l'aise alors maria enchaina:

- si il est vraiment ton ami comme tu le prétend...alors si, c'est le genre de discussion que tu devrais avoir devant lui.

je fermais les yeux, passant une main tremblante sur la nuque.

- écoute ambre...cela fait 50 ans maintenant.... il est temps que tu oublie dorian...

- ne prononce pas son nom !!!!!

- tu as le droit de refaire ta vie... tu as aussi le droit d'être heureuse....

suite à ses mots, maria se leva de sa chaise et sortit de la pièce. Je regardais kazuo, mon regard froid avait laisser place à un regard qui exprimait une tristesse et une douleur immense, une larmes roula sur ma joue, une seule, c'était déjà bien trop. Depuis quand était redevenue si sensible, que je laissais mes sentiments prendre le dessus? je me rassis à côté de kazuo, toujours en le fixant et murmura:

- je ne veut pas que tu crois que je te cache des choses...juste que certain sujet sont très dur pour moi à aborder...

je ne lâchais pas son regard, le mien restais plonger dans le sien, nos iris était plonger dans une danse folle, se cherchant mutuellement.

- et puis, en se qui concerne mon "amour" pour toi...c'est compliquer... ce n'est pas que je t'aime ou que je ne t'aime pas...juste que je m'interdis à moi même d'avoir des sentiments amoureux pour que l'un d'autre...

je pinçais mes lèvres, fronçant les sourcils,même si cela était gênant, je devais dire la vérité à kazuo.

- mais voilà... ton baiser de l'autre soir, à réveiller des sensations en moi que je croyait avoir perdu depuis un demis siècle déjà... pourtant, se n'était comme si s'était un vrai baiser n'est-ce pas ?

mais là dessus lucy avait eu raison, je ne pouvais le nier, ce baiser avait était vraiment agréable, je dirais même délicieux, si tendre, si doux, et se frisson qui avait parcourut toute mon échine, me donnant la chair de poule alors que je sentais comme des étincelles sur les lèvres de kazuo...un baiser comme on en voudrait tout les jours, à longueur de temps...

- mais je me rend compte...que je tiens plus à ta soeur et toi que je ne le devrais... savoir qu'il pourrais vous arriver quelque chose me rend malade... te voir ainsi que donne la nausée, j'ai l'impression que mon coeur est sur le point d'exploser dans ma poitrine....

et s'est en fixant kazuo tristement que les larmes se mirent à couler à flot pour la première fois de puis 50 longues années. Comment cela se faisait-il qu'auprès d'helena et kazuo je retrouve tout ses sensations et sentiments perdu ?

Comme si c'etait insuffisant, il fallut qu'Ambre rajoute une couche, elle a vraiment peur que je parte. Elle est tellement dingue qu'elle serait capable de mettre des gardes autour de la maison pour m'empêcher de sortir, et ce meme si ça vient d'une simple envie d'aller au toilette. Bon tant pis, j'espérais juste que ça n'apporterais pas d'ennui, des inconnus dans leur camp, les Inyo vont se mefier.

Je crois que pendant que les Agorahs me dévoreront ma soeur aura le temps de se barrer. Et puis tu prendrais soin d'elle si il m'arrivait malheur.

Ambre m'écoutait à peine, je la pris par la main, une façon un peu brutale, certes, mais je voulais en etre sur.

Promet le moi, si jamais un jour je venais à mourir, ma soeur viendrait vivre ici et que tu prendrais soin d'elle.

J'en avais un peu profiter pour me remettre assis, je dois l'avouer. Quand à ma question, elle entraîna des complications dans la famille. Les disputes de famille, voila qui me révélait déjà beaucoup. Je ne dis rien, mais tous le monde voulait mettre Ambre avec moi. Pourquoi, je venait de poser une simple question?? Dont la réponse fut négative, mais selon la suite de la conversation avec mamie Maria, je n'etait pas sur de la reponse. De nouveau le nom de ce "Dorian ressortit, j'ignorais qui il est, ou etait, mais ça semblait avoir affectés beaucoup de monde, surtout Ambre. L'oublier, il etait un petit ami avec qui elle a rompus? Cet hypothèse est fort possible. Mais je ne demanda rien, je me contenta d'écouter, jusqu'à ce que la grand mère sortit en nous laissant seuls Ambre et moi. J'étais curieux de savoir ce que faisait ma soeur, mais je verrait après! Ambre prit d'abord la parole, comme quoi certains sujets sont difficiles à aborder. Le sujet Dorian, j'en était certain.

Ne t'en fais pas, je ne t'ai pas obligés à raconter quoi que ce soit, j'ignore qui est ce Dorian, mais je ne tient pas à le savoir si c'est pour te faire pleurer.

Résultat, je sentais la peine commencer à venir, j'aurais dus me taire. Une seule larme coula, pour moi, c'etait une de trop, je vais encore dormir avec sur la conscience le fait que j'ai fait pleurer Ambre. Elle précisa qu'elle s'interdisait des sentiments blablabla...

Ta famille a raison pourtant.

Ambre fut un peu surprise, moi ben partit comme j'étais, il m fallait à présent développer l'idée.

Tu as le droit d'avoir des sentiments, de refaire ta vie avec un autre homme et d'être heureuse avec lui. Alors oublis ce passés qui te ronge, quel qu'il soit, cesse de chialer inutilement et reprends toi en main. Ou est passés la forte guerrière que j'ai connut avant cette petite fille qui n'arrive pas à s'assumer.

Ambre fut surprise de telle parole. Peut t'etre est ce que cela ne me regardait pas et je prendrais peut t'etre une baffe pour lui avoir parler ainsi, mais je lui rendrais si ça pouvait remettre les idées en place. Je passa ma main sur sa joue alors qu'Ambre en revint sur cette histoire de baisé. Décidément j'ai peut t'etre fait la plus grand bêtise de ma vie ainsi, mais maintenant qu'elle me demandait la signification, j'étais incapable de répondre, après tout il aurait pus y exister 1001 façons de repousser cet ivrogne sans embrasser Ambre; C'est la premiere chose que j'ai eu en tête. Enfin Ambre conclut sur le fait qu'elle s'inquiéter trop sur ma soeur et moi. Je retira ma main de sa joue doucement, elle sembla frissonner de cette caresse futile. Elle se remit à pleurer, je lui donne cette baffe ou pas?? Non je me pencha vers elle et deposa mes levres sur les siennes, pourquoi, je l'ignore, je faisais peut t'etre la plus grosse idioties de toute ma vie, mais ça arrêta les pleurs d'ambre de nouveau choqués par ce nouveau baisés.

Ne t'inquiète pas pour nous, on sait très bien se débrouiller et on saura très bien se débrouiller encore. Tu n'as pas à avoir peur, on a toujours été très prudent, cette rencontre avec les Agorahs n'etait que coïncidence. Maintenant je crois que je vais dormir un peu.

De toute façon, la fameuse Lucy appela Ambre pour qu'elle vienne manger sa soupe. Ambre hésita et finallement partit, mais quelque chose me dit qu'elle reviendrait, quand je ne sais pas, mais elle finira par revenir.

je fut surprise de la question de kazuo qui me fit promettre de prendre soin de sa soeur si il lui arrivait quelque chose. Je le fixait dans les yeux et murmura:

- je te le jure.... je prendrais soin d'elle, je m'en occuperais chaque jours...

mais l'idée qu'il pourrai en effet lui arriver quelque chose me fit un mal de chien, si bien que je supplier kazuo du regard, serrant sa main doucement:

- je t'en prie...je me parle plus du faite qu'il pourrait t'arriver quelque chose....

kazuo enchaina, donnant raison à maria sur le faite que je devait refaire ma vie. Mais cette idée m'était insupportable. Kazuo voulu me rassurer en me disant qu'ils ne leur arriverait rien, ni à lui, ni à sa soeur, tout cela, en me caressant la joue, mes larmes chaudes coulant le longs de ses doigts puis c'est avec douceur que ses lèvres se plaquèrent sur les miennes. Le baiser fut encore plus beau qu'à la taverne, il y avait encore plus de tendresse, je ne put m'empêcher de participer à se baiser, le faisant prolonger, sentant la langue de kazuo contre la mienne, se caressant mutuellement avec douceur. Nos lèvres finirent par se séparait, j'ouvris les yeux et fixa kazuo. je rougissait légèrement, chose si rare chez moi...j'avais encore envie de sentir ses lèvres, mais je ne pouvait me le permettre, alors je me levais, lucy m'appelais. Je m'arrêtais devant la porte tourna la tête vers kazuo pour le regarder encore une et sortit, refermant la porte derrière moi. je descendit à l'étage du dessous, une fois dans la cuisine, j'esquissais un sourire, maria me servit ma soupe, irvin était déjà assis à manger la sienne, quand à lucy, elle s'approcha, les yeux plissa, un air suspect sur le visage. je ne dit rien alors qu'elle renifla mon visage.

- je sent...son odeur...Juste...là !

elle frôla mes lèvres de ses doigts fin en soutenant mon regard et dit:

- tu l'as embrasser ?

- non.

- alors c'est lui qui l'as fait ?

je ne dit rien, lucy fit un grand sourire et me dit:

- étais-ce encore un FAUX baiser ?

- non.... mais...

- tu cherche encore une excuse ambre ?

je soupirais et détourna le regard. maria me fixa et irvin aussi.

- môman , est-ce que kazuo il va épouser ambre ?

maria mit un coup de cuillère sur la tête de son fille cadet et dit:

- tais-toi donc ! sa ne te regarde pas !!!! mange ta soupe au lieu de poser des question idiote !

irvin sourit et se remit à manger sa soupe, sa mère dû lui servir une autre assiette car la première n'était pas suffisante pour le rassasier, comme toujours. une fois que j'eus prit mon repas, je remontait silencieusement à l'étage et entra dans la chambre. Je m'allongeais sur mon lit et fixa la lune dans le ciel. je ne sais pas combien de temps je suis rester ainsi, mais j'ai finit par m'assoupir. Maria était partie dormir, lucy avait ramener helena et l'avait installer d'autre la seconde chambre d'amie quand à irvin, lui était de garde cette nuit. j'avais fait encore un cauchemars, cette fois c'était dorian qui venait tourmenter mes nuits. j'en avais assez. Je me levais et sortit de ma chambre silencieusement, traversant le couloir, je m'approchais de la chambre ou était kazuo, j'ouvris la porte doucement et entra. IL ouvris les yeux et se redressa, me fixant avec un air calme, comme si il s'attendait à me voir. je m'approchais et chuchotais tristement:

- je peut...dormir avec toi cette nuit ? s'il te plait...

je m'assis sur le lit alors que kazuo se décala doucement pour me faire de la place, le lit était petit, nous serions très serrer, mais après tout, n'est-ce pas se dont j'avais besoin ? je m'allongeais, kaz me recouvra de son draps, je le regardais un instant, à voir son regard, il avait déjà dû comprendre que mon sommeil était agité et que j'avais besoin d'être réconforter, que ma décision de venir le voir lui n'était pas anodine.

Je fut rassurés quand elle me promis qu'elle s'occuperait bien d'Helena. Je lacha sa main en me détendant. Elle me demanda de ne plus lui parler de malheur, pourtant c'est exactement ce qui pourrait arriver. Je savais que je finirais par mourir un jour, ou que quelque chose m'empêcherait de protégés ma soeur. Savoir que je pouvais compter sur Ambre me rassura...à moitié. Effectivement, est ce que Ambre sera en mesure de protéger ma soeur? Après tout, je trouvais que Ambre n'etait plus la guerrière d'autrefois, ses sentiments l'ont rendu plus faible, plus pleurnicheuse! Non pas qu'elle me dégoûte, ça n'arrivera peut t'etre jamais, mais j'étais déçus. Comme quoi il ne fallait pas que je laisse mes sentiments surgir, si un jour ils surgiraient.

Je ne faisait qu'émettre une hypothese.

Peu après l'instant du baiser, Ambre finit par descendre, moi je m'allongea en fermant les yeux, laissant la fatigue prendre le dessus tant que la douleur s'était calmés. Pas pour longtemps, ma soeur entra, evidemment.

Oh non, pas maintenant Helena, je suis fatigués.

Kiri qu'est ce qu'il s'est passés, j'ai vu Ambre partir un peu gênés, tu lui as fait quoi??

Je lui ait dit qu'elle m'empêchait de dormir et que je lui tordrait le cou si elle continuait.

Même pas vrai, je te crois pas!! D'accord je te laisse, Ambre m'a dit que je pouvais dormir dans la chambre d'à cotés, si tu as besoin de moi... mais demain quand on reprendra la route, je ne te laisserais pas tranquille tu peux en etre sur, je veux savoir ce qui s'est passés.

Sur ce, Helena partit dans la chambre d'à cotés. Je soupira et ferma les yeux, espérant de nouveau me rendormir.

J'ai hâte!!

D'après tous les souvenirs du passés dont Ambre faisait face, il n'etait pas difficile de parier que son sommeil devrait etre agités de cela. C'est sûrement à ce moment là qu'elle viendrait, Ambre aura besoin d'une présence pour la réconfortés auprès d'elle, et j'étais prêt à parier que ce serait moi. Ce ne serait plus qu'une question de temps. Toute façon je n'arrivait pas à bien dormir, les idées d'Ambre me hantait. "je m'interdis à moi même d'avoir des sentiments amoureux pour que l'un d'autre..." Mais cela n"avait pas vraiment répondus à ma question, et très rapidement je regretta ce second baisés que je lui est offert, avec peut t'etre de faux espoir. Je le regrettait, peut t'etre pas, peut t'etre qu'au fond je voulais réessayer, et ce n'etait pas désagréable. Pourquoi ne pas laisser sa chance à Ambre, après tout, c'est une belle femme. Quelqu'un s'approcha et m'extirpa de son sommeil, mais ce n'etait pas Ambre, mais la petite Lucy. Elle me sourit et deposa devant moi un bol de soupe.

Personne n vous en as proposés et la soupe est à présent froide, mais j'ai pensés que vous pourriez manger quelque chose. Votre soeur a déjà pris un bol aussi, ne vous en faites pas, et il y en a encore si vous en avez envie.

Effectivement, Ambre n'etait pas la seul jolie fille. Je me redressa difficilement et prit le bol de soupe.

C'est parfait, merci!!

Elle me lança son plus beau sourire, et murmura un rapide bonne nuit en allant se coucher. Moins de 5 minutes après, j'avais finis mon bol et poser à cotés quand Ambre entra. Elle devait penser que je l'attendait, ce qui etait à moitiés vrai. Elle me proposa comme je l'avais devinés de dormir avec elle, je m'écarta pour qu'elle s'allonge à cotés de moi. Elle etait peu habillés, et moi je l'étais tout autant remarque, mais cela n'empêcha rien, aucun de nous 2 ne furent gênés. Ambre s'allongea, je l'entoura doucement par la taille, elle sentait encore très bon, et le souvenir du baiser etait pour nous 2 présent dans nos esprits. Je deposa un doux baiser sur sa nuque, elle en frissonna, et moi je m'amusait un peu à voir les réactions qu'elle avait. Maintenant je le savais, elle etait amoureuse de moi, mais moi je ne sais pas, mais je vais limiter mes contacts dorénavant. Je murmura un léger "bonne nuit" au creux de son oreille et finit par fermer les yeux, peut t'etre m'endormir. Je sentis quelque chose de doux frôlés ma joue, mais peut t'etre etait ce le fruit de mes pensées...

A nouveau se contacte délicieux. Un léger baiser sur ma nuque, son souffle chaud sur la peau, une étreinte tendre, un murmure au creux de l'oreille... ciel ! que je me sent mieux. mais je ne peut m'empêcher de penser que kazuo se joue de moi... peu être ais-je tord de penser cela, jamais il se jouerais ainsi de mes sentiments.J'avais une totale confiance en lui, et j'avais honte d'avoir penser ne serai-ce qu'une seconde qu'il se jouait de moi. Sotte que je suis. le corps chaud de kazuo coller au lien me réchauffait, j'étais peu habiller, et lui ne portait qu'un sous-vêtements, mon odorat se laisser enivrer par son odeur masculine, suintant d'hormone de mâle dominant. Je voyais dans la pénombre les muscles saillant des ses bras qui me serrait contre lui. Mon ouïe se laisser bercer par chacun des battements de son coeur...d'un geste doux,je caressais sa joue du bout des doigts puis ferma les yeux un mon tour, plongeant rapidement dans un sommeil profond et paisible.

le soleil était lever depuis un moment déjà. à l'étage du bas, maria était toujours occuper à tricoter, Irvin était partis en reconnaissance dans la foret, helena était assise avec mari et mangeait son petit déjeuner. Lucy arriva à son tour, descendant les escalier un sourire aux lèvres, comme toujours. Elle embrassa sa mère et salua helena puis demanda:

- tiens... ambre n'est pas là ?

helena fit un signe négatif de la tête, trop concentrer sur son petit déjeuner copieux, la jeune fille en profitais, ce n'est pas souvent qu'elle pouvait se remplir la panse ainsi. maria fixa sa fille qui demanda étonner:

- quoi ? vous ne l'avez pas vu ? je pensait qu'elle était partis chasser comme tout les matins !

- non...on ne la pas vu descendre...

- mais...je viens d'aller dans sa chambre...son lit est vide !!!!

les trois femme se figèrent et se dévisagèrent mutuellement. lucy sourit malicieusement et remonta les escalier rapidement, elle s'approcha de la porte de la chambre de kazuo et l'ouvrit doucement,juste assez pour passer sa tête. Elle me vit, là, allonger et blotti dans les bras de kazuo, dormant paisiblement tout comme mon ami qui me tenait pas la taille et ne semblait pas vouloir me lâcher. Je remuait légèrement , soupirant dans mon sommeil, kazuo remua à son tour, sans se réveiller, ses doigts remontèrent se long de mon épaules pour venir caresser mes cheveux et me serrer un peu plus contre lui. Lucy referma la porte et descendit de nouveau à l'étage.

- vous ne devinerez jamais ou je viens de trouver ambre...

maria haussa les épaules, peu intéresser par les enfantillage de sa fille alors que lucy s'écria en sautillant et souriant de joie:

- blotti dans les bras de kazuo !!!!!

helena faillis s'étouffer avec son lait, même maria sursauta de surprise. Elle posa son tricot sur ses genoux et demanda:

- nue ????

- euh... je n'est pas bien fait attention mais...il sont si mignon !!!! tu verrais comme kazuo l'enlace en dormant!!!

cette fois, helena se leva en souriant et monta les escalier, voulant voir cela de ses propres yeux... Elle fit la même chose que lucy, observant malicieusement son frère dont les trais du visage était détendu et reposer. Elle redescendit pour rejoindre maria et lucy dans la cuisine. pendant se temps, kazuo se réveillait doucement alors que moi,je restais toujours endormit dans ses bras...

Je fis une de ses fameuses nuits sans rêves, le genre trou noir complet, comme si meme en dormant je voulais profiter de la douceur d'Ambre. Je ne jouait pas avec ses sentiments, ce serait cruel,, je voulais juste etre certain de ce qu'elle ressentait, à présent je sais. Maintenant nous avons dormis l'un contre l'autre, en amis, c'est normal. Enfin je crois. Bref, je dormis donc sans le moindre rêve, comme si je l'offrait aussi à Ambre pour qu'elle dorme bien, et ça fonctionnait. Du moins, j'en avait l'impression, Ambre dormait paisiblement dans ses bras. Elle s'était tournés, face à moi, et m'a également serrer contre elle comme si j'étais une peluche. Quand à moi, je ne bougea pas, je dormait en ayant conscience de la réalités. Cela régénérait mon corps et me permettait rapidement de savoir ce qui se passe autour de moi. Enfin en partit, car le lendemain matin, je n'avais aucune idée qu'on avait été surpris de la sorte. Je ne tenais plus Ambre que par la taille, je la tenait fermement contre moi, tandis que ma tête reposait juste entre son menton et sa poitrine. Je profitait de la douceur de son odeur, me reposant alors que Ambre dormait des plus paisiblement. Je finis par entrouvrir les yeux, les rayons du soleil m'éblouirent des le début et il me fallut 10 bonnes minutes pour m'habituer à cette nouvelle lueur. Je parvint à me dégager doucement de l'étreinte d'Ambre qui dormait paisiblement. Elle avait l'air sereine, si sereine, je ne voulais pas gâcher cela en la réveillant. Une fois assis, par réflexe Ambre m'attrapa par la taille alors que je m'étira. Mauvaise idée, cela relança quelque peu ma blessure. Je ne pourrais pas faire de gestes brusques pendant une bonne semaine apparemment, donc pas de combat, et redoublés de vigilance. C'est Helena qui allait faire la tête.
Je dégagea doucement les bras d'Ambre pour me lever et m'éloigner, mais quand je fut debout, elle se cramponna à une de mes jambes, comme si elle ne tenait absolument pas à me laisser par tir. Je regarda autour de moi et trouva une petite poupée en tissus au sol. Je dégagea de nouveau doucement les mains d'Ambre pour la 3ème fois et au moment de son réflexe, mis la poupée dans ses mains. Ambre serra la poupée comme si il s'agissait de moi. Je me demande comment serait sa réaction quand elle se réveillerait et qu'elle trouverait une poupée pour enfant à ma place. Je pris mes vetements, quelqu'un semblait les avoir lavés, et ignorant mon épaule, reussis à m'habiller tant bien que mal. Seul le ceinturon de mon katana fut impossible à mettre. Je descendis les marches décoiffés, me grattant derrière la nuque. Je bailla puis entra pour la premiere fois dans ce qui semblait etre la cuisine. Il y avait la vieille avait son pull-over difforme et immense, ma soeur qui se goinfrait de tartine de confiture, la petite Lucy qui jouait avec un couteau. A part Ambre et le mome d'hier, tous le monde etait là. Je fit un simple geste de la main, la flemme de parler, je n'etais pas du genre grincheux, mais pas du genre à sauter de joie et à chanter avec les animaux le matin. La grand mère me regarda à peine, j'ai l'impression qu'elle m'aime pas, et moi je m'en fiche completement, ma soeur avait la bouche trop pleine pour répondre et Lucy me fit un grand sourire, mais son regard ainsi que celui de ma soeur etait plutôt etrange.

Qu'est ce qu'il se passe??

Ma soeur prit la parole la premiere, au moins vu qu'elle est aussi directe que moi, je saurais tout de suite ce qui ne va pas.

C'était bien cette nuit avec Ambre?? Raconte!!

Ha c'etait cela, je m'attendais à pire. Je soupira et commença à mettre du beurre sur une tartine.

J'ai rien d'intéressant à dire.

Vous avez fait quoi??

D'après toi,, ils ont fait quoi??

Lucy rejoint ses 2 index à l'extrémité, puis les 2 filles finirent par rire, un petit rire de petites filles. Je soupira, je sens que cette histoire ne cessera pas de nous suivre.

Ok, alors pour la dernière fois, je n'ai...

TU ARRETE CELA IMMEDIATEMENT!!!!

Je sursauta, légèrement surpris, la vieille venait de se réveiller et m'avait gueulés à moitié dans l'oreille.

Si tu as du respect envers Ambre, si vraiment tu es son ami, mais que tu ne ressens rien de plus, cesse tout cela, car tu lui redonne de faux espoirs. Cependant au point ou s'est allés, tu as intérêt à la rendre heureuse.

Hey, du calme grand mère, je le répète, il ne s'est rien passé, on a juste dormis.

Et quand tu l'as embrassés?? Je ne me souviens pas que tu est somnambule Kiri.

Non ça c'etait une bêtise!!!

Comment ça tu l'as embrasser une 2ème fois??

Très sympa le matin. Je versa du miel sur la tartine en essayant d'apporter toute mon attention dessus. Heureusement les renforts arrivaient car j'entendais Ambre arrivés.

J'ouvris les yeux doucement, éblouie par les rayons du soleil; d'instinct, je plaquais une main sur mes yeux pour les cacher de la lumière éblouissante du soleil., je sentis quelque chose dans mes bras, je vis que kazuo n'était plus là et qu'une vielle poupée de fichons le remplacer. Je me redressais dans le lit en soupirant, repoussant la poupée sur le côté puis je m'étire gracieusement. j'avais passer une excellente nuit, calme et paisible à souhait, ce dont j'avais besoin depuis un moment. pas facile quand est chef d'un clan avec plus de 200 habitants à gérer, parfois, on à aussi besoin de repos pour évacuer tout se stresse qui nous pourrie nos journées. je me lève du lit et sors de la chambre d'ami pour aller dans la mienne, là, je me déshabille et entre dans le grand bac en bois remplie d'eau froid et commence à me laver tranquillement, saisissant un petit flacon remplie d'un mélange odorant de plante. j'esquisse un sourire et en déverse une partis dans la main puis me savonne avec. Une fois fait, je me rince et sors du bac, m'enroulant dans une serviette puis enfile des vêtements propre et très léger. un simple haut avec une jupe qui ressemble plus à un pagne très court qu'autre chose. j'enfile mes bottes et glisse un couteau dedans puis sors de la chambre et descend les escalier. dans la cuisine, maria me sourit, helena fixe son frère bouche et lucy me fait un sourire qui en dit grand sur ce qu'elle pense, et quand à voir la tête de kazuo, je comprend très vite que nous avons été surpris à dormir ensemble. Je m'assois sans un mots à la table, assise en face de kazuo à qui je lance un vague regard. Lucy s'approche, toujours se grand sourire au lèvres mais aux moments où elle s'apprête à dire quelque chose, je lui lance un regard si noir que son sourire s'efface aussitôt et qu'elle recule d'un pas. Je me contente de lui dire:

- on discuteras de ça plus tard.

helena semble aussi effrayer par mon regard, moi, je croise le regard de kazuo qui est plonger....dans mon sublime décolleté! j'arque un sourcils et lui dit:

- vas-y...te gêne pas surtout ....

lucy pouffe de rire avec helena, l'ambiance semble plutôt tendu. ce que kazuo ne sait pas, c'est qu'en descendant , je l'est entendu parler de notre baiser qu'il prétend être "une bêtise". je peux comprendre que le premier l'est été, mais le second...surtout que c'est lui qui m'as embrasser sans que je ne demande rien !!! comment ose t-il dire derrière qu'il s'agit une erreur ? je vois kazuo humer l'air discrètement, fixant mes épaules nue, son regard glissant sur le reste de ma peau, je comprend que mon odeur l'attire, surtout qu'aujourd'hui...je rentre en période de reproduction...je vais encore vivre un enfers...car généralement, les mâles font la queue pur me courtiser... parfois même cela provoque de violent combat dans le clan. voilà aussi la raison pour lequel lucy et helena évite mon regard, l'odeur que je dégage est follement attirante pour les hommes, mais pour les femmes, c'est plutôt une mise en garde... maria, lucy et helena se turent, le regard de kazuo était suffisamment explicite. kazuo est un mâle dominant face à une femelle en période de reproduction, un mot ou un geste de travers, et kazuo pouvait les tuer aussitôt. je me levais brusquement et contourna la table pour sortir dehors quand kazuo attrapa mon poignet brusquement. généralement je repoussais avec facilité les mâle prêt à la reproduction, aucun de faisait le poids mais kaz, lui c'est une autre histoire.... d'un geste rapide je me relâchais de l'emprise de kazuo et sortit dehors mais à peine après avoir fait quelque pas, que beaucoup d'homme sentir mon odeur et me fixèrent. je n'eus d'autre choix que de faire demis tour et rentrer à la maison. dans la cuisine, l'ambiance était toujours aussi froide, les trois femme garder tête baiser face à kazuo qui me fixa quand je passais à côté de lui et monta rapidement les escalier pour aller vers la chambre. j'hésitais à m'enfermer à clé mais je sais que ce n'est pas ça qui retiendrais mon ami dont déjà, j'entendais les pas dans les escaliers...

Restés à table avec ma tartine, je resta silencieux alors qu'Ambre s'installa devant moi. Comme si elle avait devinés le sujet, elle prévint d'avance tous le monde en leur jetant un regard noir, mais j'étais inspirés bien ailleurs. Je n'avais jamais remarqués à quel point Ambre etait précieuse. Et surtout a quel point elle etait belle. Elle remarqua mon regard certes un peu déplacés, mais la vue etait si belle que je ne m'en privait pas.Tant pis si ça paraissait insultant pour elle.

Je n'avais jamais remarqués à quel point tu étais attirante, Ambre.

Dire que j'étais moi meme serait un mensonge, dire que je n'avais pas conscience de mes actes aussi etait un mensonge. Il etait facile de comprendre qu'Ambre etait en période de reproduction, et comme tous les mâle, je n'y coupais pas. Maria dus sûrement penser un truc du genre "il manquait plus que ça", mais elles s'abstinrent de commentaire ou meme de m'approcher, et ce meme pour Helena. Ambre compris aussi, elle se leva, je voulus la retenir, elle se dégagea avant que j'ai pus dire quoi que ce soit. Je me tourna vers les autres filles restés au fond de la pièce, d'un air légèrement terrifiés.

Vous donnerez à manger à ma soeur.

Maria ne comprit pas, mais acquiesça. Entre temps Ambre repassa, je ne la toucha pas en la regardant passer. J'allais vraiment bien m'amuser finallement. Et cette blessure à l'épaule me sembla soudainement bien passagere.

D'accord, on va jouer à chat et à la souris.

Mais rapidement je me dirigea vers ma soeur et la prit dans mes bras, elle se laissa ainsi faire alors que je l'enveloppait de mon odeur pour en faire ma propriétés.

Tu va t'enfermer dans une chambre et tu n'en bougera plus tant que je ne serais pas revenu te chercher.

Je lacha ma soeur en chemin qui se dirigea vers sa chambre, mais à ce moment Irvin entra. Il semblait affolés, et pris ma soeur aux épaules de façon brutale. Il la lacha aussitôt, sentant mon odeur sur elle, elle ne craignait rien. Je lui lança un regard noir, Helena alla se réfugier dans l chambre alors qu'Irvin renifla l'air, puis monta brusquement les escaliers. Je me précipita sur ses talons, Ambre n'avait pas pris soin de fermer la porte à clé, mais elle fut surprise d'y voir Irvin entrés en premier. Je savais qu'il n'avait aucune chance face à Ambre, mais je la voulait au meilleur de sa forme pour la suite. Il se précipita sur la jeune Inyo, je l'attrapa à la nuque et le balança contre le mur.

Pas touche, Ambre est à moi.

Il faut la meriter.

Et tu crois que toi tu la mérite??

Irvin se jeta droit sur moi, je l'attrapa par la gorge et le souleva facilement du sol. Un coup de genoux dans les cotes et il vola à l'autre bout de la pièce. Nouvelle tentative, d'un revers de la main je l'envoya balader, au point qu'il passa par la fenêtre et s'écrasa en bas. La victoire etait mienne, Ambre aussi désormais. Je ferma la porte à clé en gardant la clé sur moi Ca n'empêchera pas Ambre de sortir, mais ça la retiendra une seconde le temps de défoncer la serrure, une seconde de trop. Elle se dirigea vers la fenêtre, je fut plus rapide qu'elle pour l'en empêcher de s'enfuir. Je tenta de l'attraper, elle fit un salto arrière pour m'eviter.

Je suis plus rapide que toi et tu es plus souple que moi, je sens que ça va etre interessant.

Je fonça vers elle, l'attrapa par la gorge et la fit tomber sur le lit, je tenta de la stabilisés en me mettant sur elle, mais d'un coup de pied au visage elle m'en empêcha. Elle se dirigea vers la fenêtre, toujours pas assez rapide, j'attrappa Ambre par la taille et la balança contre le mur du fond. Hé oui, la possession c'est douloureux. Je la repris peu de temps après et l'allongea de nouveau sur le lit. Je m'assied sur ses jambes pour l'empêcher de bouger et lui retint les bras de mes mains. Elle se débattit pendant quelques secondes, puis s finallement se détendit, se laissant faire, avouant sa défaite. Maintenant le plus intéressant allait commencer, je lui lacha prudemment les mains, mais ne libéra pas encore ses jambes tandis que je fut sur le point d'enlever son haut.

pourquoi a-t-il fallu que cela tombe aujourd'hui ? j'ai pas mériter ça !!!

Irvin arriva comme un boulet dans ma chambre, j'avais l'habitude, chaque période de reproduction était le même cinéma... je l'attendais de pieds ferme, qu'il s'approche s'il est courageux...ou idiot. dans les deux cas, il n'auras pas le temps de faire quoi que se soit! je serrais les point, écartant les jambes pour prendre une bonne posture d'attaque mais avant même qu'il est le temps de me toucher, kazuo sortit dont ne sais ou et le jeta contre le mur. je le regardais étonner alors que très vite, irvin fut mit hors jeu. Là, ça commençait à se gâter sérieusement, car voilà que je me retrouvait à devoir me battre contre kazuo. Le problème c'est que kazuo avait lui aussi libérer son hormone, follement attirer par cela, il m'était plus difficile de me battre, c'était comme attirer un chien avec un os... je me retrouver piéger. tout de même, je ne pensait pas que kazuo pouvait avoir tant de hargne quand il voulait quelque chose, s'en était vraiment effrayant.Allonger sur le lit, je le fixait, son odeur était alléchante, trop même... il lâcha mes mains et commença à retirer mon haut, libérant ma poitrine qu'un homme seulement avais eu la chance de voir et de toucher. oui, j'étais comme un fruit interdit, garder jalousement dans un coin. Je me retenais de ne pas me jeter sur lui, surtout après 50 longues années d'abstinence. Si je me laissais aller, alors s'en était fini, je savais que j'appartiendrais à kazuo définitivement.

- je t'en prie kaz...on sait très bien tout les deux que ce n'est pas ce que tu veux !!!!

un sourire narquois se dessina sur sa bouche qui me rappelais se délicieux baiser de la veille et ne m'aider pas à améliorer la situation. et oui si, c'est bien ce qu'il voulait! comme n'importe quel homme. IL se leva de mes jambes pour se glisser entre elles, approchant ses lèvres de ma peau.

- je...non...kaz...ne fait pas ça...tu le regretteras après....

rien à faire, il refusait de m'écouter les dés étaient lancer maintenant, je ne pouvait plus reculer, déjà je sentait l'envie naitre en moi.

* à quoi bon le repousser ! tu le désir, plus que n'importe qui ! accepte ton destin et unis toi à lui ! donne lui son héritier et tout se passeras bien pour toi !*

- non....kaz...arrête !

c'était si dur de luter. je savais que je ne tiendrais plus très longtemps, mon coeur s'accélérait dans ma poitrine, ses caresses fit naître quelques soupir entre mes lèvres....trop tard, il avait gagner.

Ce qui me prenait je n'en sais rien, je suis comme une marionnette dont quelqu'un de malhonnête tire les ficelles. Ca ne me ressemble pas. Et pourtant, c'etait bien moi qui provoquait ses actions, chaque gestes, chaque pensées, ça vient de moi. Je comprends la détresse d'Ambre, et pourtant elle ne fait rien, repousse moi, défends toi!! Non, elle ne fera rien, elle en as beaucoup trop envie, tout comme moi. Elle avait raison, je le regretterais après, mais à présent pas question de retourner en arrière, c'est impossible, et Ambre m'attirait comme un aimant, déjà je m'éveillait. Je ne désirais plus qu'elle, me fichant de ce qu'il se passe. Irvin revint et fit demi-tour, oui c'est trop tard à présent. Mon odeur est sur elle, elle semble paralysés par le désir, l'envie monte, mais pourquoi lutte t'elle autant alors qu'elle ne demandera que cela dans quelques minutes. Je libère aussi ses jambes, elle aussi à présent est comme une marionnette, mais c'est moi qui tient les ficelles, le spectacle aura beau etre érotique, il n'en sera pas moins beau pour autant. Je détestait la bestialités et la violence en relation sexuelle, meme si c'est une période difficile pour elle et moi, la douceur ne sera également que de mise.
Déjà sa poitrine se montre au grand jour sous mes yeux, elle essaye de crier, de me persuader de e pas le faire, ça semble exciter le lycan en moi qui ne veut que commencer, caresser cette peau douce, goûter ses levres pulpeuse et pénétrés cette déesse. La partie est finis, Ambre est à moi.
Je descendis doucement mes levres vers elle, elle ne voulait pas que je la touche, son esprit restait contre, mais rapidement ce fut le corps qui prit le dessus, ses soupirs d'extases quand je me mit à embrasser et lécher tendrement ses seins aussi doux que ferment prouvaient ma victoire. Ambre semblait abandonner tout espoir, ce ne sera pas un viol, ou bien ce n'est pas moi, mais le lycan qui le provoquera. Moi je ne fait que donnés mon corps pour recevoir les désirs et plaisirs, mais c'est le lycan qui contrôle tout, ou presque. Je ne peux pas nier qu'une part de moi ne voulait pas le moment, Ambre ne peut pas le nier aussi.

Cesse de lutter, tu ne peux rien faire, et tu le désire autant que moi.

Sur ses parole, Ambre se releva soudainement en me prenant par la nuque et m'embrassa, mon membre déjà dur se frottait sur le vagin de la jeune inyo, toujours séparés par le tissus fin de nos derniers sous-vêtements. Je sentis la main d'Ambre passés doucement dans mon caleçon, elle a abandonnés et a laissés l'envie et le plaisir l'emporter sur sa raison. Elle caresse mon membre du bout des doigts, je sens un frisson de plaisir me longer le long du dos, nos langues se mélangeaient avec ardeur et précision, mes mains posés sur sa taille remontèrent lentement vers sa poitrine, profitant de la douceur qu'elle provoquait, de l'envie qu'elle provoquait, je n'avais encore jamais ressentis cela, les nuits seront belles dorénavant, car Ambre m'appartient.

Au fond de moi j'ai attendus ce moment depuis très longtemps...tu as pris une sage decision.

Ce furent certainement mes derniers mots, pour l'instant, le plaisir et les baisés m'empêchaient de parler, à présent seul les contacts comptent. Une de mes mains glissent vers la culotte, s'engouffre en dessous et rencontre l'intimité de la demoiselle. Je glisse mes levres dans son cou alors que l'intimité commencent doucement à etre caressés, mes doigts frôlent son clitoris avec douceur et ma langue passe sur sa carotide doucement, je le fait expres. Je veux l'entendre gémir, que cela accélère ses caresses sur mon membre, la faire jouir comme jamais. A présent, la partie commence.

j'avais beau luter, rien n'y fait, je devais admettre la défaite. Je me redressais lentement en fixant kazuo de mes yeux gris et l'embrassa langoureusement; bon dieu, je le désirais comme jamais ! j'avais envie de lui appartenir corps et âme, je voulais qu'il me fasse l'amour jusqu'à en mourir de plaisir...

Mes caresses sur son membre semblait l'exciter d'avantage, tout comme les siennes me mettait dans un états second. 50 ans...j'en avait du retard à rattraper, et c'est dans les bras de kazuo que je le ferais. lentement, je retirais son sous-vêtements et le jetais plus loin dans la pièce, il fit de même avec ma jupe et le reste de vêtements qui me recouvrait. je posais mes lèvres sur les siennes, l'embrassant tendrement, sauvagement,..amoureusement. Je n'avais pas conscience des sentiments qui me lié à lui, je refusait de l'admettre. je poussais un faible soupir, sentant ses doigts se mouvoir en moi. C'était terriblement bon, j'avais l'impression que ma tête allait exploser.

- kaz... c'est...hmmm....

ses lèvres glissèrent sur ma peau comme de l'eau avec douceur. Mais mal gré ça, sa phrase me restais en tête..." Au fond de moi j'ai attendus ce moment depuis très longtemps ".... venait-il de m'avouer qu'il me désirais depuis longtemps déjà , qu'il avait eu envie de moi à plusieurs reprise ? et moi qui croyait que le simple faite de m'avoir embrasser le dégoûtais. soudain, kazuo se recula et me fixa. je le regardais étonner, j'avais peur d'avoir fait quelque chose de mal mais très vite je compris qu'il se contentais de regarder mon corps avec un regard ardent de désir. nous étions encore le matin, le soleil brillait comme jamais et ses rayon chaleureux passais au travers de la fenêtre pour éclairer mon corps décorer de fins bijoux qui brillait au contacte de ses rayons et tintait comme une douce mélodie à chaque mouvement que je faisait. Ah...je pouvait au moins comprendre cela, à quel point cela le faisait fantasmer. j'avais conscience de mon pouvoir de séduction, peu importe le moment, à la reproduction ou pas. Mais je ne pensais pas que kazuo pouvait y être aussi sensible, mais dans un sens, cela me plaisait. je lui fit mon plus beau sourire et le tira doucement vers moi pour l'embrasser de nouveau, je sentis sa langue venir à la rencontre de la mienne, nos lèvres semblait ne plus vouloir se quitter et avec douceur, il me pénétra. J'ouvris les yeux, retenant un soupir qui resta bloquer dans ma poitrine sous le coup du plaisir ressentit. Kazuo vint à donner son premier coup de reins, je ne put retenir mon soupir. délicatement, je posais mes lèvres au coin des siennes, mes doigts fin caressèrent sa joue avec douceur...je ne pouvait m'empêcher de penser que, jamais, personne n'aurait pût imaginer que kazuo et moi prendrions tant de plaisir dans les bras l'un de l'autre...et pourtant.

- est-ce que tu vas...vraiment regretter tout cela...quand se seras finis ?

Je me mandais comme Ambre réussissait encore à parler, tout ce désir que nous partagions l'un contre l'autre me rendait muet moi, les actes comptent, pas les paroles. Je sentais cette ivresse de plaisir prendre forme, mon coeur battait la chamade, chose rare, mais le coeur d'Ambre etait encore plus rapide. Mon sang chaud bouillonnait dans les veine, j'avais l'impression que j'allais m'embraser. Je tremblais d'excitation et d'envie à chaque soupir qu'elle poussait. J'introduis mes doigts en elle, lui offre l'extase qu'elle mérite. Ses soupirs deviennent des gémissements qu'elle se retient de faire, mais ils sont de plus en plus fréquents et Ambre ne sait plus se contrôler. La ardeur dans nos coeur se mélangent, le plaisir se fait commun, nos corps se collent l'un contre l'autre comme ne voulant plus etre séparés, nos besoins étaient les mêmes, et en demandait toujours autant. Je dépose mes levres sur celles de Ambre, un baisés passionnés et quelque peu sauvage qui ne voulait prendre fin. Je caressais sa peau douce de ma main de libre, je ne pouvais m'empêcher de la faire parcourir son corps, tout comme mes levres, je voulais embrasser chaque coins de sa peau, je voulais la goûter en quelque sorte. J'accélère le mouvement de mes doigts, elle ne peut que gémir de plus en plus. Mon visage reste sérieux, mais la passion qui m'anime se reflète dans mes yeux. Il etait le petit matin, la souffrance de mon épaule semblait avoir disparus, remplacer par le désir de nos corps qui ne formions qu'un. Je me perdais dans le regard explicite d'Ambre, elle en voulait beaucoup. Un rayon du soleil n'éclaira que nous, tel un projecteur illuminant la scène. Je cessa toute activités de mes doigts et recula afin de mieux admirer la déesse que je peut manipuler à ma guise. Elle semble surprise, mais ne se cache pas, au contraire, elle est flattés et se montre sans problème. Un sourire passa sur mon visage alors que j'enlève doucement ma main.
Ambre est vraiment une jolie femme, je dois avouer que j'ai hésiter en l'espace d'un instant, mais j'avais pris la bonne décision en la choisissant. Elle des seins ni trop gros, ni trop maigre, d'une grande douceur et légèrement ferme, se développant sous mes yeux, un corps de rêve au courbes finis et élégantes, des levres pulpeuses et desireuses, des yeux montrant son âme pure capable d'envoûter n'importe quel homme et des jambes belles dont on veut facilement se placer entre elles. Bref, Ambre etait une femme magnifique, et elle le savait, mais pourtant ne s'en vantait pas.
Elle me fit un magnifique sourire, ajoutant de la splendeur sur son beau visage. Je lui rendit son sourire et me laissa entraîner dans un baisé passionnés ou de nouveaux nos langues se mélangèrent dans une danse folle. La chaleur que l'on ressentait n'etait pas dus au soleil. Très rapidement le besoin de lui faire l'amour vint vraiment naturellement et je la pénétra. Elle poussa u soupir d'extase des le premier coups de rein, c'est sur que tout cela devait tant lui manquer. Mes coups de reins n'avaient rien de brutal, bien au contraire, je poursuivait mes efforts avec une grande douceur . Je n'accélérait pas encore le mouvement, inutile car Ambre semblait déjà elle meme dans une grande extase. Je l'embrassa pour étouffer un nouveau soupir alors que mes mains parcoururent son corps jusque sa poitrine qu'elles caressèrent délicatement.
Ce que dit Ambre par la suite me surpris un peu, je ne lui ais jamais dit que je regretterais peut t'etre, alors comment peut t'elle savoir?? Et surtout, pourquoi poser cette question en plein milieux, elle gâchait toujours tout. Si je n'etais pas autant attirer par elle, je serais certainement partit en étant déçus de cette reaction.

Est ce que c'est vraiment important d'en parler maintenant??

Elle voulut répondre, je m'enfonça un peu plus en elle et c'est un gémissement de plaisir qui s'échappa de ses levres. Je repris mes coups de reins doucement, Ambre n'insista pas, on verra bien. Je passa mes levres dans son cou, à présent une main etait remontés caressés ses cheveux, l'autre descendus caresser sa cuisse. Je ferma les yeux, profitant de ce moment et de ce sentiment de paix qu'elle m'offrait, pour une fois je me sentais bien, rien à craindre.

Kazuo semblait embêter que je lui est poser cette question, bon, il est que c'est pas vraiment le moment aussi... tout de même, j'aurais aimer savoir la réponse...mais il s'enfonça plus profondément en moi, et cette fois, je ne peut retenir un gémissement d'extase. Ses lèvres glissèrent de nouveau sur ma peau, ma main glissa le long de son dos, remontant jusqu'à sa nuque que je caressais doucement. Mes lèvres se posèrent sur son cou, y déposant un fin baiser puis sur ses lèvres dont j'aimais tant la douceur. Chacun de mes mouvement en moi me propulsait plus loin dans le bonheur ambiant et l'extase ressentit. Mes soupir semblait inspirer kazuo qui semblait ronger par le désir. Tout cela était si bon, je ne pouvait m'empêcher de penser que j'aurais aimer rencontre kazuo il y 50 ans déjà...qu'avec lui, j'aurais été à l'abri du malheur... oui, j'étais pleine de regret, et tellement heureuse à la fois. je prit le visage de kazuo entre mes mains et l'embrassa tendrement, caressant sa joue avec tendresse puis relâcha un nouveau soupir. Mes jambes vinrent enlacer son bassin, épousant parfaitement ses formes, lui offrant une plus grande partis de mon intimité.

Mes sentiments se bousculaient en moi, mon regard pétillait d'envie, de plaisir et d'adulation pour kazuo. Sa main glissa une main sur ma cuisse qui serra doucement pour mieux me pénétré et m'arracha un nouveau soupir. Mes mains enlacèrent ses épaules, s'entend sa musculature développer sous mes doigts, de fin frisson parcourait mon corps, électriser par le désir qui m'envahissait. Je me rendait compte que j'étais très attacher à kazuo, trop même ! je n'avais jamais ressentis ça pour quelqu'un; sa m'effrayais, je doit l'avouer. je sentit les lèvres de kazuo se poser sur le miennes, chacun de ses coups de riens étaient un vrai plaisir. je soupirais encore, comment décrire par des mots le plaisir immense que je ressentais. je voulais moi aussi donner du plaisir à mon amant, alors lentement, je le repoussais en arrière, il se retrouvait assis, je m'approchais et m'assis sur lui , en l'enlaçant par la taille et me pénétra, m'arrachant un soupir d'extase intense?. me soutenant par les hanche qu'il caressais doucement, j'ondulais mon bassin sensuellement, mes lèvres coller à celle de mon amant, nos langues se rencontrèrent encore, jouant l'une contre l'autre. Je m'empalait plus fort sur le membres de kazuo et soupira à son tours, son souffle chaud sur la peau m'arracha un sourire...j'étais si bien dans ses bras...

Les caresses d'Ambre provoquaient des frissons de plaisirs qui me surprenait, parcourant mon corps comme une rivière. Ses mains douces et chaudes me rapprochaient d'elle, elle etait désireuse et en demandait toujours plus. Chacun de mes coups de reins semblaient éveillés quelque chose en moi, quelque chose que j'enfouis rapidement au fond e moi et enferma à double tour. Mais l'extase etait bien presente et se ravivait comme jamais, le plaisir etait ma force, l'envie ce qui m'animait. Ambre lança une nouvelle partie de langue avec un nouveau baisés, j'ignorais si je le regretterait plus tard ou non, mais pour e moment, seul les baisers et caresses d'Ambre comptent. Elle en demandait plus, comme toujours, j'accélérai légèrement le mouvement, continuant de bouger en elle avec grâce et douceur, propageant un plaisir infinie qui nous liait tous deux.

Mes mains ne cessaient de parcourir sa peau tels 2 voyageuses découvrant un nouveau territoire. Mon membre s'activait en elle avec autant de plaisir alors que le soupir de l'Inyo progressait et le coeur battait maintenant à une stabilités déconcertantes car il etait restés à battre de son plein. Nos corps semblaient se poser parfaitement comme si nous étions fait l'un pour l'autre. Je poussa un coups de reins légèrement plus fort que les autres, Ambre poussa un gémissement plus for que les autres, je connaissait déjà le final. Mes levres caressèrent celles de la lycan dans un baisés torride et un besoin impossible à contrôler. Je fit glisser mes levres dans son cou, une des parties qu'elle aimait le plus apparemment. Je descendis encore mes levres jusqu'à ses seins que je prirent en bouche afin de passer ma langue sur le téton, mes coups de reins offrant toujours un si grand plaisir à ma partenaire. Je ne sais pas combien de temps s'est déjà écoulés, je m'en fiche, le temps semble s'être arrêtés. Pour moi, seul l'acte et Ambre compte, plus rien d'autre,elle m'appartenait et je n'avais jamais autant ressentis de plaisir avec une femme jusqu'à aujourd'hui. Ce sentiment au fond de moi sembla vouloir se faire plus présent, il etait assez difficile à cacher. Je recula mon visage, cessant d'embrasser ses seins, et la regarda dans ses yeux petillant de bonheur et d'extase. Je souris et nos langues reprirent de plus belles dans une étreinte folle.

Je pensais que normalement ce sera à moi de rester dominant, mais connaissant Ambre elle voulait aussi apporter sa part de travail. Je n'en fut pas surpris et me laissa faire, après cela me permettait de ressentir autant de plaisir et d'admirer la superbe vue de son corps. Elle se pencha vers moi, nos levres s'attirèrent comme des aimants. Mes mains étaient posés sur sa taille alors que nous reprenions un plaisir commun. Je tenait de l'aider dans ses mouvements, mais finallement lui laissa entière satisfaction. Une de mes mains remonta le long de son dos pour ensuite caresser ses cheveux qui passait entre mes doigts comme de l'eau. L'autre main fit le tour de la taille d'Ambre afin de mieux l'enfoncer en moi!! Elle étouffa un gémissement dans notre baisés. Ma respiration etait accélérer, l'extase augmentait mes pulsations cardiaque alors que je reglissa mes levres dans son cou tout en la serrant contre moi, profitant de chaque mouvements du bassin de la part d'Ambre qui provoquait pour moi une augmentation de l'excitation.

Chacun de mes gémissement poussaient kazuo à aller plus loin en moi. IL découvrait mon corps avec avidité, son regard plus qu' expressif montrait qu'il n'était pas insensible à ce qu'il voyait. Le contacte charnel que nous partagions était sans équivalent, comme deux âmes sœurs qui se retrouvait enfin, se désirant plus que tout. Qui aurait cru que j'aurais trouver mon bonheur dans les bras d'un étranger, un japonais, un simple rôdeur... la vie nous réserve tellement de surprises... je suis plutôt fière de pouvoir partager se moment d'extase avec lui, comme s'il me connaissait par coeur, dans mon esprit, comme mon corps...car déjà, il savait quoi faire pour augmenter mon plaisir.

- kaz...Kazuo....

Je m'empalais de nouveau plus profondément sur son membres, mordillant légèrement sa lèvres avant de l'embrasser de nouveau langoureusement. Nos étaient en âge, luisant de sueur dû à l'effort physique mais mal gré la fatigue, le plaisir était plus fort et nous poussait à continue notre acte su beau et délicieux. Je poussais un autre gémissement, jouissant d'un plaisir intense qui m'était si rarement offert. Kazuo semblait apprécier chaque ondulations que je faisait, mes mains caressèrent son torse musclé, mes lèvres glissant sur son cou avec tendresse. J'avais l'impression que ma tête allais exploser sous se trop plein de plaisir. Comment résister à tant d'extase, il n'y à pas à tergiverser..kazuo savait s'y prendre avec une femme entre les mains. J'en avais presque honte d'avoir voulu lui résister et je me rendait compte que je serais passer à côté d'un moment magnifique de ma vie. C'est triste à dire mais, même dorian ne m'avait jamais fait ressentir tant de plaisir, tant d'extase....kazuo me rendait ivre de désir, folle de lui, de ses caresses, de ses baisers passionnés. Je ne voulais pas qu'il s'arrête, d'ailleurs, y me prit par les hanches te me rallongea sur le lit, se mettant de nouveau sur moi tout en m'embrassant, devenant dominant. J'avais beau adorer dominer, je me sentais tout de mêle mieux quand c'est lui qui menait la danse car je sentait qu'il voulait me rendre folle de désir, me faire jouir à en mourir...et cela marchait très bien...

» Zael à besoin de soin (pv nott)